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  • Château Crémade

    En Provence, dans la campagne aixoise, l'Appellation d'Origine Contrôlée Palette est l'une des plus confidentielles de France : 40 hectares à peine ! Elle est aussi l'une des plus anciennes AOC provençales et mérite probablement le titre de doyen des vignobles de France : il fut en effet planté à l'origine par les légionnaires romains du consul Marius, une centaine d'années avant Jésus Christ.

    Un terroir à forte identité, un microclimat exceptionnelle loti dans un cirque naturel, protégé du Mistral par les collines de Langesse et du Grand Cabri, par les montagnes du Cengle et de la Sainte-Victoire, il bénéficie cependant du souffle des vents d'ouest et de la douceur des brises marines qui pénètrent par la brèche de la vallée de l'Arc. Associées au sol calcaire, ces conditions climatiques permettent aux vignes, conduites en gobelets, de s'épanouir dans des conditions idéales. Le vignoble de Crémade, cultivé sur les versants nord-ouest et sud, jouit ainsi d'ensoleillement et de fraîcheur nuancés. Il puise dans son calcaire de Langesse l'essence des vins de Palette.

    Une situation privilégiée, aux portes d'Aix en Provence Au XVIe siècle, le Roi René y choisissait les vins "vieux" pour sa cave personnelle. Les vignes de Palette sont en effet les plus proches de la ville d'Aix, sur les communes de Meyreuil et du Tholonet, au cœur du pays de Cézanne. Dans un écrin de nature préservée, dominé par la montagne Sainte Victoire, le terroir de Palette s'ancre au plus profond de l'identité provençale.

    Un mosaïque de cépages

    L'encépagement de l'AOC Palette est remarquable de par sa diversité : plus de 35 cépages amenant chacun leur originalité et leur complexité aux vins de Palette. Au Château Crémade, 25 cépages sont toujours cultivés selon les techniques ancestrales. Ils sont complantés aux fil des ans, et ont pu inspirer l'écriture des plus jolies pages de l'ampélographie provençale : aux côtés des traditionnels Mourvèdre, Grenache, Cinsault ou Clairette, l'amateur y découvre d'anciens cépages provençaux, disparus ailleurs et soigneusement préservés ici, comme le Durif, le Brun-Fourcat, le Manosquin, le Terret Gris, le Picardan, le Pascal Blanc, le Petit Brun, ou la Panse Muscade, joliment surnommée Panse du Roy René. Ces plants fort rares, loin de jouer les faire-valoir, contribuent à la subtilité des vins de Château Crémade. Ils offrent aussi au connaisseur des arômes inhabituels et incomparables.

    Le savoir-faire

    Ici le savoir s'ancre au plus profond du terroir.

    “Une qualité parfaite dans le respect de la tradition.” Tel est le crédo de la famille propriétaire du Domaine, et de ses vignerons.

    La passion comme le savoir-faire, se transmettent d’âge en âge... Au Château Crémade, la culture est artisanale, rythmée par les saisons et scandée par les caprices du temps. Les vendanges, manuelles bien sûr, et en cagettes, s’accompagnent d’un tri rigoureux à la cueillette puis à la cave ou la table de tri permet d'éliminer les grains ne donnant pas entière satisfaction. Il s'ensuit un éraflage complet puis un léger foulage.

    Pour être traditionnelle, la vinification n'en fait pourtant pas moins appel à la technologie la plus moderne, garante d’une qualité totale et constante. La thermorégulation et le pigeage ont ainsi été adaptés sur les cuves de bois tronconique.

    Une fois assemblées, les cuvées vieillissent en fûts de chêne sous la surveillance attentive du maître de chai, jusqu’à l’heure de la mise en bouteille, un an plus tard pour les Blancs, deux ans pour les Rouges.

  • Château de Bellet

    Les Barons de Bellet ont fondé leur domaine sur les hauteurs niçoises, leur titre fut accordé en 1777 par le roi des Etats Sardes. Cette famille originaire de Savoie a donné son nom à l’appellation qui a fêté en 2011 ses 70 ans : l'une des plus anciennes A.O.C.

    Sur les parcelles culminantes de l’appellation, les vignes de Château de Bellet entourent l’ancienne Chapelle familiale. Le monument édifié en hommage à Agnès Roissard de Bellet, disparue à l’âge de 23 ans, abrite aujourd’hui sa statue. Cette chapelle visible à des kilomètres a été bâtie avec les pierres blanches de l’antique carrière de La Turbie. Ce sont ces mêmes pierres qui ont servi à la construction de la cathédrale, du célèbre casino et du musée océanographique de la principauté de Monaco.

    La réputation des vins de Bellet est internationale et ancienne. Thomas Jefferson appréciait le « grand cru » de Nice qu’il découvre à l’occasion d’une visite. Cette notoriété perdure aujourd’hui, les plus hauts coteaux de l’appellation produisent des vins de sommets à bien des égards. Château de Bellet accompagne les plus grandes occasions : le sommet de Versailles en 1982, le sommet européen de Nice en 2000 ou encore l’Otan en 2005, Château de Bellet a encore récemment été servi à l’occasion du mariage monégasque du Prince Albert et de la Princesse Charlène.

    Un paysage à couper le souffle

    Le Château de Bellet fait partie du territoire communal de Nice. La cinquième ville de France peut s'enorgueillir de posséder un vignoble d'appellation d'origine protégée. Situé entre mer et montagne, à cinq minutes à vol d'oiseau de la promenade des Anglais, il culmine à une altitude moyenne de 200 mètres. Son décor est celui d'un grand vignoble, en toile de fond se dessinent les derniers contreforts enneigés des Alpes dominant l'azur méditerranéen et le Cap d'Antibes.

    L'altitude et les vents apportent fraîcheur et amplitude thermique nécessaires à l'élégance des grands vins. Sur ses côteaux, les terrasses parfaitement exposées sont alternativement rafraîchies par le vent venant de la mer et celui descendant des Alpes. Ces conditions font dire à certains que Château de Bellet est le plus septentrional des vins méridionaux.

    Des cépages rares

    Braquet, Folle Noire et Rolle : voilà les trois noms à retenir pour les cépages produisant les vins du Château de Bellet. Les Barons de Bellet ont fait partie de ces « quelques familles de vignerons » qui, après la Seconde Guerre mondiale, ont replanté « des cépages anciens et locaux très caractéristiques et adaptés à ce territoire comme le cépage Vermentino B, dénommé localement Rolle, et destiné à la production de vins blancs, et comme les cépages Braquet N et Fuella Nera (ou Folle Noire) réservés à l'élaboration de vins rouges et rosés ».

    Le Rolle, aujourd’hui associé aux terroirs provençaux, a donc vu le jour sur les terres de l'appellation. Le cépage autochtone Braquet a toujours été assimilé aux vins de Bellet dans les traités anciens d'ampélographie. Son nom vient d’ailleurs d'une vieille famille niçoise. Pour une plus grande complexité aromatique, on lui associe un troisième cépage au caractère « lunatique » dont il tire son nom : la Folle Noire.

    Restanques et poudingues

    Les fortes pentes de l'appellation façonnent le vignoble en terrasses aussi nommées restanques. Ces planches étroites ont été sculptées à même le poudingue, dans un ciment silico-calcaire compact qui renferme des galets roulés du Pliocène drainés depuis les sommets alpins.

    Seuls quelques rangs de vignes sont plantés par restanque. La mécanisation étant difficile, le travail manuel et artisanal prime.

  • Château du Seuil

    Seuls décors d'une façade simple est la porte centrale dont l'encadrement est couronné d'un fronton brisé, frappé aux armes des Michaélis. Une belle menuiserie Louis XIII est surmontée d'une imposte à fuseaux de bois rayonnant. Le crépi aux tons chauds simulant la pierre unifie les différentes parties. Un parterre semblable à celui du pavillon Trimont, s'étend au-dessous de la cour. Il se termine par un bois de chênes qui rejoint vers l'est par une grande allée les installations de la cave actuelle.

    Le Seuil devient la propriété des Michaëlis, lors du rattachement de la Provence à la France. Puissante famille du parlement d'Aix, ils y établirent leur résidence d'été. Il fût érigé au XVIIème siècle en seigneur et son propriétaire, Paul de Michaélis conseiller du roi honoraire en la cour des Comptes et des Finances. Ce titre lui donnait le droit d'apposer le terme de "château" ainsi que l'attestent certains documents de cette époque.

    Au début des années 1970 la famille Carreau Gaschereau, famille de juristes, s'installe au Château du Seuil et y créé un vignoble désormais entièrement situé dans l'aire de l'appellation d'origine protégée "Côteaux d'Aix" et produisant des vins de grande qualité.

    En juillet 2014 Agnès et Robert DAUSSUN et leurs enfants achètent le château du Seuil et son domaine viticole et forestier avec l’objectif de développer le potentiel remarquable du château et du terroir qui l’entoure et d’offrir des vins d’excellence.

    Le vignoble

    Planté pour la majeure partie sur les flancs du massif de la Trévaresse entre 400 et 450 mètres d'altitude, le vignoble s'étend sur différentes parcelles. Les parcelles de cépages à vins rouges se situent de préférence au sud-ouest et celles des blancs plus sur les coteaux nord-est. Le sol est constitué de sédiments argilo-calcaires qui donnent à nos vins du sud leur typicité et leurs arômes remarquables.

    Aujourd'hui 55 hectares en production (pour une moyenne entre 45 et 50 hl/ha), entièrement classé en Appellation d'Origine Contrôlée, qui respecte un encépagement des plus classiques.

    Chai et Elevage

    La cave est attenante à l’ancienne bergerie où un caveau de dégustation est installé depuis lors. Ce vaste bâtiment, à demi enterré, est situé à proximité du Château, au centre du vignoble. D’une capacité de 6000hl, il est climatisé et équipé d’un matériel de vinification performant, associé à un dispositif de système de réfrigération incontournable pour les vinifications de vins blancs et de vins rosés.

    L’élevage en fûts depuis 1990 représente aujourd’hui plus de 25% de la production. Aux fûts français de l’Allier et de Nevers, s’associe pour les rouges un petit pourcentage de fûts des Vosges plus torrifiés et plus puissants.

    Des chauffes moyennes sont préférées pour nos vins du sud pour exalter les arômes des cépages tout en optimisant la puissance structurelle de nos vins Grand Seuil.

  • Château Henri Bonnaud

    C’est tout d’abord une histoire d’hommes, fiers d’être paysans, des travailleurs hors pair.

    Stéphane Spitzglous, représentant la 3ème génération, est né sur le Domaine. Elevé par son grand-père, il l’accompagne des journées entières sur le tracteur.

    En 1996, Henri Bonnaud accepte enfin qu’il prenne la suite. Mais Stéphane a d’autres ambitions, celles de faire son propre vin et de bâtir un « château ».

    C’est en 2004, qu’il vinifie son premier millésime. Et en mémoire à son aïeul, décédé en 2001, il décide de le baptiser : Château Henri Bonnaud.

    En 2006, Stéphane créé la cuvée Quintessence, la grande cuvée du Domaine.

    En 2010, il décide de convertir l’ensemble du Domaine en culture biologique.

    Et c’est en 2011, qu’il posera la première pierre de son « Château », concrétisant ainsi son plus grand rêve, l’un des plus grands moments de l’histoire du Domaine.

    Son terroir

    Château Henri Bonnaud est situé sur la commune du Tholonet, à 6km au sud-est d’Aix-en-Provence. C’est aussi là qu’on trouve la majorité des parcelles classées en AOC Palette. Nos parcelles s’étendent sur 14 hectares de cette belle appellation qui en compte seulement 42. L’appellation Palette est l’une des plus confidentielles de France, et on y trouve de beaux vins de garde.

    Son terroir est constitué d’un sol d’éboulis calcaire dit de «Langesse». (Un calcaire lacustre de l’ère tertiaire). Le Domaine blottis dans un amphithéâtre naturel, protégé du mistral par les collines de Langesse et du Grand Cabri, et par les montagnes du Cengle et de la Sainte-Victoire, bénéficie d’un microclimat.

    Tout le domaine est en agriculture biologique.

    D’autres parcelles classées en Côtes de Provence Sainte-Victoire, Côtes de Provence et IGP Méditerranée, représentant environ 10 hectares, nous permettent de produire des vins plaisirs, gourmands.

    C’est sur le Domaine de Château Henri Bonnaud que l’on trouve quelques un des plus beaux points de vue de la Sainte Victoire qui attisent tant les peintres et les photographes.

  • Château Jean-Pierre...
  • Château Pradeaux

    Depuis 1752,un domaine et une famille en harmonie. Des vignes et des oliviers bercés par le vent de mer, une bastide ancrée sur les lecques, le tout écrasé par le soleil. Des hommes et des femmes se sont succédés pour mettre en valeur, avec passion, le fruit de cette terre.

    Le Château Pradeaux - Histoire familiale

    Jean-Marie-Etienne PORTALIS corédacteur du code civil et négociateur du Concordat sous Napoléon I’hérite en 1752 de la propriété de famille de sa grand-mère. C’est ainsi que commença l’histoire des Portalis et de Château Pradeaux. La révolution de 1789 voit le domaine dévasté, Charles PORTALIS et sa belle-fille Adrienne lui rendent son âme.

    C’est Arlette PORTALIS, et sa mère Suzanne, qui viennent, pendant la guerre de 39-45, réhabiliter le domaine détruit par l’occupation. Aidées par le Baron Leroy, fondateur de l’INAO, elles vont se lancer dans l’aventure du Bandol et du mourvèdre.

    Cyrille est le seul descendant et Arlette lui a transmis, avec les terres, la passion du Bandol.

    Depuis 1985 il est le seul vinificateur du Château Pradeaux, le chantre du travail authentique de la terre, l’héritier de la passion du mourvèdre et de son élevage patient en foudres de chêne.

    A son tour il transmet le virus du mourvèdre à ses fils Etienne et Edouard qui l'épaulent dans le secteur commercial et pour la culture.

    L’aventure familiale se poursuit, le Château Pradeaux continue de fasciner les descendants actuels des PORTALIS.

    Le vin du Château Pradeaux...

    Le vin du Château Pradeaux raconte une histoire, il est porteur d’une mémoire.

    Chaque génération donne le meilleur d’elle-même et élabore avec respect et amour le précieux nectar. Chacun apporte sa touche personnelle, sa modernité, sans renier l’héritage reçu des anciens.

  • Château Virant

    On compare souvent une vigne ou un olivier à un homme. On parle de jeunesse, d’adolescence, d’âge adulte puis d’âge mûr. On a coutume de dire qu’une vigne ou qu’un olivier produit de moins en moins vigoureusement, mais de plus en plus qualitativement.

    Cette image s’applique traits pour traits aux vignes et aux oliviers du domaine de Château Virant, et raconte mieux que quiconque l’histoire de la famille Cheylan. Jeunes et vigoureux, Pascal et Christine Cheylan sont comparables à la fougue des jeunes plants de vignes et d’oliviers. Ils sont fiers et vifs, et récoltent, année après année, le fruit de leurs efforts quotidiens.

    Emplis d’expérience et de sagesse, pareils à une vigne d’âge mûr, Robert et Noële Cheylan, leurs parents, sont inscrits dans les fondations de Château Virant. Ils sont les garants de l’identité du domaine et de la réputation de ses vins et de ses huiles d’olive. Ainsi, le destin de cette famille est intimement lié au cycle de la vigne et de l’olivier. Résistant aux années difficiles et puisant dans son cœur les ressources nécessaires, elle a su maintenir une régularité et une qualité qui font aujourd’hui la réputation et la gloire de Château Virant.

    Histoire

    Ère protohistorique : Le site de Virant est un piton rocheux qui surplombe la propriété et lui donne son nom actuel de Virant. Il est daté de l’âge de pierre et fut à travers les âges un lieu de culte, de sacrifice, d’habitat et de protection de la population. Aujourd’hui, c’est un magnifique rocher d’escalade qui offre un point de vue étonnant sur la plaine allant de l’étang de Berre jusqu’à la montagne Sainte Victoire.

    1632 : La cave souterraine de Château Virant voit le jour. Oliviers et vignes sont alors cultivés sur les terres du domaine et le vin élevé dans la cave.

    1897 : La production se développant, la cave de Château Virant s’agrandit, avec l’édification d’un bâtiment imposant qui est, aujourd’hui encore, l’espace dédié aux vinifications et à l’élevage des vins de Château Virant.

    1974 : Robert et Noële Cheylan acquièrent la propriété de Château Virant. Sous leur impulsion, le domaine va considérablement se moderniser, jusqu’à devenir l’un des fleurons de l’appellation Aix en Provence.

    1987 : Après 13 années d’efforts, d’investissements, de restructuration des terres, de restauration des bâtiments, Robert et Noële Cheylan, soutenus par leur fils Pascal s’engagent dans leur première vinification puis dans la commercialisation des vins. Le succès est au rendez-vous. Pas à pas, Château Virant devient Château Virant.

    1996 : En agriculteur visionnaire et conscient des enjeux de son temps, Robert Cheylan décide de maîtriser tout le processus de fabrication de l’huile d’olive en créant le propre moulin à huile de Château Virant. C’est Christine, l’unique fille de la famille, qui prend en charge la conduite du moulin et la fabrication de l’huile d’olive. L’huile d’olive de Château Virant devient une huile de renom, avec à ce jour le plus beau palmarès oléicole de France.

    Terroir

    Une alliance entre la Nature et les Hommes

     

    Un terroir est une alliance. C’est l’union parfaite entre une variété, un sol, un climat. Le travail de l’homme est la clé de voûte de ce triptyque.

    TERROIR

    Château Virant est situé sur le terroir d’Aix en Provence, et bénéficie de l’appellation d’origine protégée éponyme.

    Caractérisé par un sol argilo calcaire, le terroir de la propriété est soumis aux assauts ininterrompus du Mistral, aux fortes températures et à un large ensoleillement. Les sols sont asséchés par ces conditions climatiques particulières, ce qui favorise le développement des cépages comme la Syrah, le Grenache, ou l’Ugni Blanc et permet aux variétés d’oliviers Aglandau et Salonenque de se plaire et s’épanouir.

    L’UNION DES SAVOIRS FAIRE

    A Château Virant, on parle de savoirs faire au pluriel. Les générations apportent chacune à leur tour leurs lots d’innovations, de techniques, et de visions différentes. C’est un enrichissement de tous les instants, à toutes les étapes de la fabrication.

    La 1ère génération a acquis la maîtrise de la polyculture et la connaissance parfaite de son terroir. Elle a su diversifier l’encépagement, assurer des tailles sélectives, développer le goutte à goutte...

    La 2ème génération a apporté sa jeunesse et son énergie. Elle a su maîtriser les évolutions technologiques et techniques de son temps pour assurer la continuité et perpétuer la tradition d’un grand savoir-faire.

  • Clos Cibonne

    Sur un coteau de la chaîne des Maures, entre Toulon et Hyères, une vieille gentilhommière du XVIIème siècle se dresse, pantelante et délabrée, cernée par les champs de vignes et dominant la rade de Toulon.

    Nous sommes ici au Clos Cibonne dont le nom perpétue le patronyme de Jean Baptiste de Cibon, capitaine de vaisseau de la marine Royale de Louis XVI et ancien propriétaire du domaine. A sa mort en 1797, la propriété fut vendue aux ancêtres de la Famille Roux. Dans les années 1930, André Roux fut celui qui donna toutes les lettres de noblesse au vignoble autour du cépage Tibouren. Depuis, enfants et petits-enfants perpétuent la tradition.

    L’authentique Tibouren du Pradet fera le tour du Monde.

    Aujourd’hui le site a gardé toute son authenticité et son histoire ancienne autour du cépage Tibouren.

    Au coeur d’un écrin de verdure, le visiteur est séduit dès son arrivée par la sérénité des lieux. Au milieu des vignes, la cave et son espace de réception vous accueillent.

    Le domaine se situe en bordure de la mer Méditerranée dans le sud-est de la France, entre Marseille et Nice. L’aéroport international de Hyères ou de Marseille rend très accessible, de tous points en Europe ce site enchanteur. La propriété de 15 hectares domine à l’ouest la rade de Toulon et à l’Est s’ouvre la perspective sur la presqu’île de Giens et les îles de Porquerolles.

  • Domaine de la Réaltière

    Le Domaine de la Réaltière est situé entre Jouques et Rians, dans une Provence encore sauvage, à quatre cents mètres d’altitude.

    Logé au pied de la Vautubière, il fait face à la montagne Sainte Victoire. Bordé en contrebas par le canal de Provence, le vignoble s’étend sur huit hectares en appellation « Coteaux d’Aix-en-Provence », sur un sol argilocalcaire. Il est entouré d’une oliveraie et d’une forêt de chênes verts et de pins où se mêlent toutes les senteurs provençales. Il bénéficie d’une exposition plein-sud, et d’un micro climat exceptionnel.

    Le vignoble

    Lorsqu’il s’installe à la Réaltière en 1994, Jean-Louis Michelland s’attache à respecter le terroir et les méthodes de culture traditionnelles. Il n’utilise aucun désherbant ni pesticides ni engrais chimiques.

    En 2001, il meurt accidentellement en travaillant ses vignes. Son fils Pierre, entouré d’amis vignerons partageant les mêmes options, poursuit avec énergie et humilité la voie tracée par son père.

    Il privilège les faibles rendements tout en maîtrisant rigoureusement les traitements phytosanitaires. Ainsi les cépages de Grenache, Cabernet sauvignon, Syrah, Cinsault, Carignan (vieilles vignes) et Ugni blanc s’expriment pleinement avec un rare bonheur.

    Sémillon et clairette plantés en avril 2005 viennent compléter les cépages du domaine.

    La cave

    Dans cette partie septentrionale de l’Appellation, les vendanges sont tardives. Elles sont faites à la main pour chaque cépage. Les raisins sont rigoureusement triés, puis vinifiés selon les méthodes traditionnelles. Pierre Michelland surveille personnellement toutes les étapes de la vinification avec la complicité de l’œnologue Lionel Torres.

    La spécificité du terroir, le soin apporté à la vigne, le suivi créatif du travail dans la cave s’expriment dans les qualités des trois cuvées :

    • La personnalité el l’excellence d’un rouge de garde : CUVEE DES PRENOMS

    • La fraicheur aromatique d’un rosé particulièrement fruité : CUVEE PASTEL

    • Le charme des vrais vins de primeur d’antan : CUVEE CUL-SEC

  • Domaine de Toasc

    Idéalement situé sur les hauteurs de Nice, sur le versant Est de la Plaine du Var, à 10 minutes des rivages de la Baie des Anges, le Domaine de Toasc est une propriété de 12 hectares sur laquelle sont plantés 7 hectares de vignes et 2 hectares d’oliviers. Il participe à la renommée du Bellet, l’une des plus petites appellations d’origine protégée de France, qui a obtenu son label il y a plus de 70 ans.

    Bellet fait partie des cinq appellations cinquantenaire de Provence.

    Le vin d'ici, " Lou vin d'aqui ", est le Vin de Pays élaboré au Domaine de Toasc, en attendant que les vignes aient plus de 8 ans d'âge pour être classées AOP.

    Au domaine de Toasc, le vent de terre, de mer et la tramontane maintiennent l'état sanitaire des vignes, permettent une culture raisonnée. Aussi, sur les pentes où le dénivelé atteint 180 mètres, le travail est souvent pratiqué manuellement et rythmé par des traitements cupriques, une taille courte, un effeuillage et des vendanges vertes limitant le rendement à 35 hl/ha.

    Les sols issus des alluvions du Var au quaternaire sont constitués du " poudingue ", agglomérat d'argile, sable et galets roulés, riche en éléments minéraux. Toutes les conditions sont réunies pour produire un grand Bellet.

    Des techniques modernes au service de méthodes ancestrales

    Le vignoble du Domaine de Toasc est certifié agriculture bio par Ecocert depuis 2012. Ce n’est qu’entre le 15 septembre et le 15 octobre qu’a lieu la récolte annuelle pour ne vendanger que des grappes de raisins en pleine maturité, leur conférant une qualité plus grande.

    Dans la cave, le matériel est constitué d’un pressoir pneumatique et de 7 grandes cuves superposées en inox et thermo régulées pour vinifier les Blancs et les Rosés. Les Rouges sont élaborés après fermentation selon les méthodes de vinification traditionnelle, en fûts de chêne de 350 litres chacun. Les raisins sont travaillés par gravité, à partir d’une table de tri, puis tous sont égrappés et foulés légèrement et enfin ils subissent une macération pelliculaire à basse température avant la fermentation alcoolique et malolactique pour les rouges.        

    Le Terroir

    Terrasses de galets roulés du pliocène, exposé Est / Sud-Est.

    La grande profondeur des sols et leur grande pauvreté offrent à la vigne des conditions idéales pour un enracinement lui permettant de réguler son alimentation en eau et en éléments nutritifs.

    A la situation maritime qui tempère les excès du climat méditerranéen s’ajoute l’influence des montagnes du Mercantour avec leurs courants d’air frais.

    Ainsi, le développement de la vigne se fait en douceur pour une maturation optimale du raisin. La forte densité de plantation, le soin extrême apporté à l’entretien du vignoble sont la part du vigneron pour que la vigne donne le meilleur raisin possible.

    Un terroir unique et des cépages enracinés

    L’appellation couvre environ 650 ha, dont environ 60 ha en exploitation. Sur les coteaux, les derniers contreforts des Alpes, à une altitude comprise entre 100 et 300 mètres environ, elle est intégralement située sur le territoire de la commune de Nice, dans le département des Alpes Maritimes. En pleine région méditerranéenne, ce vignoble jouit d’un bel ensoleillement (environ 2 700 heures par an), de pluies bénéfiques (838 mm par an) et d’un micro climat particulier dû à son implantation en altitude et aux vents (mistral et tramontane) soufflant presque sans interruption dans la vallée. Ce caractère climatique permet un processus lent de maturation indispensable notamment à la fraîcheur et à l’élégance des vins blancs et rosés.

    Le Braquet et la Folle Noire confèrent le tanin, le corps et la robe des Rouges. Le Rolle, très floral et le Chardonnay plus moelleux constituent l’âme des Blancs, tandis que le Grenache est utilisé en cépage secondaire pour le Rosé avec le Braquet. Le sol est favorable à la production du vin, silico-calcaire, constitué comme l’on dit ici de « poudingue », un mélange d’argile, de sable et de galets roulés, riche en éléments minéraux, filtrant les pluies des orages méditerranéens. A une altitude de 200 mètres environ, la température y est plus clémente que dans la vallée du Var. Vent de terre, Tramontane, et vent de mer s’alternent pour balayer les coteaux du domaine créant un microclimat très propice et sanitairement exceptionnel.

  • Domaine Lafran Veyrolles

    "Rovayrola" = Rouvraie = zone plantée de chênes rouvres quartier de la Cadière d’Azur en 1405, est devenue "Vayrole" citée par Magloire Giraud et "Veyrolles" citée par Bosc.

    Les orthographes changent : mais la terre demeure. Des rejetons de ces arbres tenaces forment encore une longue bordure du côté Nord de la propriété.

    L'origine de celle-ci peut se situer dans la première partie du 17ème siècle. Elle appartenait à un sieur du nom de MELCHION LAFRAN. Elle figure au nom de ses hoirs dès 1641, date à laquelle, elle est désignée comme : terre, bastide, vignes, oliviers et aveliniers (noisetiers) et mentionnée comme confrontant le sieur NOBLE (qui donna son nom au quartier de la Noblesse) et le Grand Vallat.

    Elle fut, lors d'un partage en 1662, estimée à 120 florins et attribuée en 1663 à André et Louys LAFRAN. De cette période à nos jours, elle a été regroupée, morcelée à nouveau et est entrée dans la famille actuelle dans le courant du 19ème siècle.

    L'arrière Grand-Père Romain VENTRE l'a laissée en 1917, à sa petite-fille CLEMENT. Celle ci s'est beaucoup attachée à la terre et dès 1929, c'est son époux Louis FEREC, qui, artiste peintre exerçant aux BEAUX-ARTS, membre actif résident de l'Académie du VAR, que rien ne semblait destiner a la vocation agricole, l'a aimée aussi : pour la peindre d'abord et pour la posséder vraiment, en faire une autre oeuvre.

    Ce n'est plus " Poète et paysan "

    C'est " Peintre et vigneron ".

    Il lui a consacré une grande partie de ses forces vives pour la reconstituer,l'agrandir et la rénover pendant les loisirs que lui laissait son activité principale. Grâce à lui le domaine LAFRAN-VEYROLLES est un des 1ers BANDOL. L'étendue est modeste, mais que d'amour y est inclus...

    Tant d'amour, que les CLEMENT-FEREC, ont converti leur fille à ce même culte de la Vigne et du Vin et, qu’aujourd’hui, après d'autres occupations, cette fille et son époux les FEREC-JOUVE sont les exploitants du Domaine.

    Situation

    Dans l'arrière-pays de Bandol, il appartient à la commune de La Cadière d’Azur.

    Placé sur les pentes des Côtes de Veyrolles, dominant le Grand Vallat, bien exposé au soleil levant et au midi, il est séparé de la mer par la crête du Gros Cerveau et les collines d'Antrechaus. Il bénéficie grâce a cette position, de nombreux avantages climatiques.

    Il jouit d'un merveilleux ensoleillement et d'une brise marine atténuée, qui lui apporte d'une manière constante, une protection en hiver et la fraîcheur souhaitable pendant les étés chauds.

    Les vents d'Est lui amènent la pluie nécessaire et suffisante à sa végétation (550 mm/an). Les orages l'épargnent car ils préfèrent se faufiler sur la vallée de St. Côme ou sévir au dessus de Sanary.

    Le sol argilo-calcaire, créé par des dépôts du crétacé supérieur d'origine marine, plus précisément d'âge santonien, fait partie du domaine de la Provence calcaire.

     

    Pendant les périodes de grande sécheresse, ce sol conserve grâce à l'argile, l'humidité qui n existe plus ailleurs et qui le sauve.

    Le Domaine est entièrement classé dans l'aire A.O.C. Situé à 6 kms de BANDOL et à 2,5 kms de LA CADIERE D'AZUR, la cave qui fait partie intégrante du vieux mas de pierres, est au milieu du Domaine.

    On y accède facilement, en prenant d'abord la N 559 qui va de BANDOL au PLAN DU CASTELLET et ensuite, une petite route secondaire, à gauche sur les coteaux, dénommée "Route de l'Argile".

    Le vignoble

    Le vignoble est constitué de 10 hectares:

       - 6 ha de Mourvèdres

       - 1 ha de Grenaches

       - 1 ha de Cinsaults

       - 2 ha de Clairettes, d'Ugnis Blancs et de Carignans.

    La taille est faite en gobelet traditionnel. Les fumures sont naturelles pour préserver la qualité et sont pratiquées en alternance tous les deux ans.

    N.B. : Le désherbage est mécanique. Aucun produit chimique n'est utilisé.

    La vendange verte est rigoureuse pour ne laisser qu'un minimum de grappes. L'écimage est opéré tardivement et réduit au minimum pour laisser toute la nourriture et le confort aux grappes de raisin. Seuls, du soufre et du cuivre fortifient les souches.

    Pour les travaux, le matériel est le plus banal, tracteur à roues et pulvérisateur pneumatique.

    La vendange se fait à la main et est recueillie en petits bacs pour éviter tout écrasement et toute oxydation pendant le transport à la Cave.

  • Domaine Les Béates

    Un terroir séduisant

    Très diversifié, le terroir du domaine des Béates est un mélange de calcaires tendres, de sables gréseux, d’argilo-calcaires sur marnes et de sols caillouteux.

    Cette dominante calcaire procure une grande minéralité à nos vins blancs, un beau fruit à nos rosés et elle nous impose un contrôle de rendement plus sévère pour obtenir des rouges puissants et de garde.

    Les cépages du domaine, issus de vignes parfois vieilles de 50 ans, sont le Grenache Noir, la Syrah, le Cabernet Sauvignon et le Carignan, ainsi que le Rolle, l’Ugni Blanc, le Sauvignon et le Grenache Blanc.

    Cette multiplicité de terroirs et de cépages s'exprime pleinement par le style affirmé des trois cuvées qui composent la gamme de nos coteaux d'Aix : « les Béatines », « Les Béates » et la sélection parcellaire « Terra d'Or ».

    Le Vignoble

    Ses 40 hectares, plantés sur les meilleures terres de Lambesc à une vingtaine de kms au nord-ouest d’Aix, entre les Alpilles, le Lubéron et la Sainte-Victoire, profitent de cette barrière naturelle contre l’humidité et le froid que génère la Durance, située elle plus au nord.

    Avec les parcelles en AOC plantées sur les contreforts sud entre 200 et 400 mètres d’altitude, ce vignoble très morcelé confère à nos vins un équilibre, une acidité et une stabilité naturelle, d’autant plus remarquables dans les millésimes très chauds.

    La Vigne : Culture Biologique

    La partie historique du Domaine est travaillé en Agriculture Biologique depuis le début des années 80.

    Lors de l’extension réalisée en 2000 par l’achat de parcelles voisines (anciennement Domaine de Janet), nous avons mis en place ces mêmes méthodes agricoles afin que le terroir reprenne vie. Ces parcelles sont quant à elles certifiées par Ecocert SAS – F32600 depuis 2004.

    Au-delà de cette certification, nous nous attachons à la vie de nos sols et aux cycles naturels dans le seul but d’avoir des vins vivants exprimant ce fabuleux terroir.

    La Cave : Respect du Terroir

    La technique est la bienvenue quand elle est au service du vin, comme pour la régulation des températures de vinification.

    D’un autre côté nous refusons tout interventionnisme excessif !

    Nous favorisons le travail de nos levures indigènes et limitons les intrants au strict minimum.

    Nos raisins sont réceptionnés par gravité afin de les préserver. Nous travaillons cépage par cépage et parcelle par parcelle afin de conserver l’identité de chaque terroir jusqu’à l’assemblage final.

    Le choix de méthode de vinification et d’élevage est fait en fonction des raisins cueillis et du style de vin recherché.

    Notre objectif premier restant la qualité et le respect de la personnalité de nos terroirs dans notre quête d’authenticité.

  • Domaine Ray Jane

    Le Domaine Ray-Jane est l'œuvre de Raymond et Jane CONSTANT.

    En unissant leurs vies, ils ont réuni les terres de leurs ancêtres vignerons se succédant depuis 1288, sur les terres du Castellet et de la Cadière.

    Vingt-six hectares de terrains argilo-calcaire et triasiques étagés en restanques de pierres sèches comprennent un tiers de vignes centenaires.

    La Vigne

    Le travail de la vigne suit le rythme des saisons et beaucoup de soins dans sa culture, notamment quand celle-ci est naturelle et ne repose pas sur l’emploi de désherbant, ni de produit chimique.

    Le souffre volcanique contre l’oïdium, à raison de 3 à 4 traitements par an et la bouillie bordelaise non colorée (spécialement fabriquée pour nous), contre le mildiou, un traitement par an durant les années sèches, sont les seuls traitements employés dans notre domaine.

    Fin de l’été, automne :

    Vendanges en Septembre. Fumure des vignes avec l’Humus organique.

    Travaux d’hiver :

    Taille manuelle, Broyage des sarments. Remplacement des vignes mortes, ce qui nécessite de creuser des cavités profondes pour les nouvelles plantations.

    Travaux de printemps :

    Déchaussage des vignes à l’aide d’un tracteur à chenilles et d’une charrue. Piochage des vignes à la main. Fraise rotative pour éliminer les mauvaises herbes. Ebourgeonnage des vignes.

    Travaux d’été :

    Chaussage des pieds de vignes pour maintenir l’humidité de la terre avant les grosses chaleurs. Griffes et labour profond à plusieurs reprises durant la saison. Entretien de toutes les restanques et débroussaillage. Nous travaillons en biodynamie. Cela signifie que nous suivons le rythme de la lune. En lune descendante : nous plantons, taillons et ébourgeonnons selon les saisons ; tandis qu’en lune montante : nous greffons, récoltons …

    Le Vin

    Les raisins sont vendangés à la main et conduits à la cave dans des bennes électriques inox équiées de vis sans fin, qui pousse délicatement le raison dans les cuves en inox thermo-régulées.

    Vin rosé

    Macération de 2 à 36 heures avec la grappe dans la cuve, puis le jus est recueilli sans pression, environ une goutte de jus par grain. Ce jus est refroidi à température de 2°C à 3°C pendant 2 à 3 jours. Ensuite, il est décanté et fait sa fermentation à 12°C pendant deux mois et demi. Nous faisons faire la fermentation malolactique.

    Vin Rouge

    Les raisins (Mourvèdre, Grenache et Cinsault) fermentent individuellement pendant trois semaines avec la grappe. Ensuite, le tout est écoulé et vidé dans le pressoir pneumatique en inox. La première pressée ainsi que le premier jus iront remplir les tonneaux de chêne en attendant d’être assemblés et donner ainsi le vin de Bandol.

    La fin des presses ira aux prestations viniques. Nous faisons faire la fermentation malolactique sur tous les vins. Elle se termine début Décembre. Les vins sont décantés tous les trois mois la première année, ce qui évite le filtrage. Ils vieillissent en foudre de chêne 23 mois et plus.

    Vin Blanc

    Pour le blanc, celui-ci est produit par un raisin blanc. C’est un Blanc de Blancs.

    Ce jus est refroidi à une température de 2°C à 3°C pendant deux à trois jours. Ensuite il est décanté et fait sa fermentation à 12°C pendant deux mois et demi en cuve inox, fermentation malolactique puis élevage sur lie.

  • Domaine Roche Redonne
  • Dupéré-Barrera

    Dupéré-Barrera est né en 2000 de la passion commune d’Emmanuelle Dupéré et de Laurent Barrera pour les grands vins et plus particulièrement pour les vins du sud de la France (Provence, Rhône et Languedoc).

    Ils ont eu la chance extraordinaire d’établir des relations privilégiées avec de très grands vignerons de leur région, mais aussi du Bordelais et de la vallée de la Loire. Ils en ont tiré un attrait évident pour le respect du raisin, les grands vins et l’adéquation terroir/vinification/élevage …

    Dupéré-Barrera est une société de négociant vinificateur éleveur qui a pour objectif de proposer aux amateurs œnophiles des vins de grande expression qualitative ou de bons rapports qualité-prix plaisir.

    Pour résumer leur travail citons le Guide des meilleurs vins de France de la RVF 2011 : "Choisissant avec exigence leurs approvisionnements, ils n'uniformisent en rien les vins lors de leur élevage, très soigné et ambitieux. Au contraire tous sont typés, chacun correspondant précisément au potentiel et au style de chaque cru."

  • Clos de la Procure

    Le domaine du Clos de la Procure est situé à Carnoules (30 km à l’Est de Toulon) en limite nord de l’influence maritime provençale (secteur géologique dit de la dépression permienne - passage du primaire au secondaire). Terroir classé en AOC Côtes de Provence à 100 %. Le domaine est constitué de 5 hectares de vieilles vignes et d’une parcelle de plus d'un hectare de Syrah plantées en 2005.

    Les parcelles de vignes (conduites en gobelets de 30 à 50 ans, certains sur échalas) sont disposées en terrasses limitées par des murets de pierre, des chemins ou des alignements d’oliviers centenaires.

    Le sol est argilo-calcaire avec quelques éléments détritiques (colluvions de pente à matrice argileuse) provenant du massif schisteux des Maures en limite Sud. La présence exceptionnelle d’une nappe d'eau souterraine à une dizaine de mètres de profondeur garantie la bonne alimentation hydrique du vignoble.

    L’encépagement est composé de Grenache, Mourvèdre, Syrah, Carignan et Cinsault pour les rouges.

    Les blancs proviennent à 100 % d'Ugni blanc appelés aussi Trebbiano en Italie.

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